Je m'avançais petit à petit dans l'Institut. Fatigué de passer sous les jupes des lycéennes les moins pudiques, je pris mon pistolet grapin et tirai.
Pan!!
Le grapin arriva sur le pantalon d'un élève de manières relativement hasardeuses et après avoir réussi à monter dans la poche de ce dernier, je me reposai un peu. J'étais glissé dans la poche d'un de ces pantalons si larges qu'on pourai c**** dedans. L'élève en question ne semblait pas pressé d'aller à son cours...
"Vas-y c'est pour ton bien..." lui ai-je dit par télépathie.
Déconcerté et cherchant d'où venait la voix il prit peur puis se décida à rentrer en cours. Je sautai de sa poche puis me mis en direction du bureau de Charles. Après avoir evité de me faire écraser plusieurs fois par des baskets et autres talons de taille, J'atteignis enfin la porte du bureau de Charles.
"Viens, passe par en-dessous, tu es le bienvenu." ai-je alors entendu.
Je me glissai sous la porte de l'entrée du bureau de mon ami. Une fois à l'intérieur, je constatai avec émerveillement que les goûts de Charles étaient toujours aussi sobres et classes. Un Monet pouvait être apprécié sur l'un des murs, quant au bureau lui même, d'olivier, le bois préféré de mon ami.
"Bonjour Charles, comment vas-tu? " lui ai-je demandé d'une pensée amicale.
"Bien, ma foi, je t'en remercie." m'a t'til répondu.
"Dis-moi mon ami certaines de tes élèves n'ont pas froid aux fesses..." lui fis-je remarquer.
"Certes, mais bon l'âge est leur excuse..."
Après une discussion diverse et variée il, me confia ses craintes concernant un projet Arme X dont il avait eu entendu penser succintement. il me demanda d'aller commencer mes investigations en Afrique car il avait détecté quelques présences étranges.