L'Agent double (New Orleans - 28 septembre - pv Copycat)

Un nuage de poussières apparu au bout de la rue menant au bar. De celui-ci en sortit une Harley. Son conducteur avait un cigare au coin des lévres. Les cheveux crépu, d'un physique entrainé bien que de petite taille ; l'homme était du genre à ne pas avoir de problème. Il tourna dans une ruelle est ce gara dans l'ombre. Quelque seconde plus tard c'est une forme plus élancé qui en sortit. Sportif là encore, l'homme était plus grand et plus vieux. Une moustache sous son nez prouvez autant son age que le nombre d'étoile à son veston. Il jeta risqua un oeil dans la rue, et comme il n'y avait personne, il se dépêcha d'entrer dans le bar. Une fois à l'intérieur, il se dirigea droit sur l'homme assis à sa table.

"Général Ross enchanté !"

Un homme de taille moyenne, au profil lisse avec le nez épaté des quarterons, lui répondit :
"Bonjour, Agent 1.3."

Il avait un sourire malin introduit comme par mégarde dans son visage étroit, et les yeux cachés par d'épaisses lunettes étincelantes. Le reste de sa tenue était assez terne et quelconque, comme l'était sa voix banale à mourir. Derrière les grosses montures, un observateur très attentif pourrait trouver un éclat bizarre, presque... artificiel.

Il lui présenta un verre rempli, ainsi que trois petits paquets renfermant une petite poudre fine. Il reprit la parole d'une manière si soudaine qu'elle n'en était pas complètement naturelle. Pas de haussement de voix, de toussotement ou de raclement de gorge.

"Si vous buvez maintenant, les substances devraient faire effet d'ici une dizaine de minutes. Isolez-vous alors dans les toilettes pour éviter de parler ou faire de la spasmophilie au milieu de ce bon public. Les nanites psycho-actives devraient s'auto-détruire assez rapidement ensuite, mais les informations seront gravées dans votre disque dur... Votre cervelle, bien entendu. Général."

Il laissa un court silence, le temps qu'elle assimile le modus operandi qu'il venait de lui annoncer.

"En attendant, si vous m'en disiez plus sur Fort X et leurs raisons de vous envoyer ici?"

Le général prit le paquet le verre se leva. Il tourna autour de la table s'arrêta à la hauteur de son interlocuteur et souffla a son semblant d'oreille.

"Si je vous le disait, trouffion. Je devrais vous désactiver ..."

Puis il partit en riant à gorge déployée.

Il tourna au coin des toilettes, mais c'est une femme rondelette qui pénétra dans les toilettes des dames un verre à la main. Une fois enfermée dans le box elle prit les sachets, versa le tout dans le verre et bu d'une gorgée. Puis elle baissa la cuvette, s'assie et attendit.

Une fois toute les donnée en mémoire, elle se releva et reprit l'apparence de la dame. Une fois sortit des toilettes des femmes, elle changea de nouveau pour celle du Général ross et retourna à la table.

"Vous avez une bidule qulconque à me refillé Q ?"

Elle aimait se la jouait à la bond, elle regréta un instant de pas avoir pris l'apparence de l'un d'eux. Mais en Connery, Brosnan, Moore ou Craig elle n'aurait pas été discréte. Dalton ou Lansbury peut être et encore. On n'est jamais à la mercie d'un fan pure et dure. C'est pourquoi que malgré la facilité au physique voie et mouvement des acteurs/actrices, elle n'imite jamais l'un(e) d'eux, même les moins connu(e)s.

Elle songea qu'il saurait si elle le voulait bien. Peut être un signe avec le paquet ... Peut être autrement ! Et seulement si ont lui ordonné de continuer cette comédie. Dommage toutefois de n'avoir pu essayer à quel point son arme était mortel sur lui. Mais pour le moment il devait vivre. Elle n'avait pas fini de détailler tout ce qui faisait de lui ... Ce qui ferait d'elle, lui !
Elle aurait préféré des poisons qu'une arme aussi menacante qu'un couteau. Si au moin il avait fait ça en stylo ...
Toujours sous l'apparence du général elle bu sa biére puis sortit. Elle retourna à sa moto mais ne reprit pas l'apparence du canadien griffu. Trop connu par le cajun. Non il lui quelqu'un d'autre chose. Elle trouverait bien qui ! En attendant c'est sous sa propre apparence qu'elle reprit la route.

Quelque jours plus tard une bohémienne remonté les allés pauvres des marais. Autour d'elle une pauvreté s'étallait entre les fourrets. Mais elle semblait allé vers les cabanes plus luxueuse en bois. Les enfants couraient autours d'elle se demandant qui elle était. En tout cas c'était l'une des leur et il ne l'importunèrent pas. Personne ne vient lui demander d'utiliser ses dons car la plupart savait soit utiliser celui-ci, soit n'y croyez pas et jouer les voyant pour arnaquer les étrangers. Ma veille bohémienne se félicita intérieurement d'avoir choisit si bonne identité. Ailleurs avec cette apparence elle aurait été bien mal si on lui avait demander d'utilisé un talent qu'elle n'avait pas. Mais ici elle faisait partit d'une famille. Et malgré que c'était une chose qu'elle avait rechercher longtemps, elle devait se reprendre pour suivre son objectif. Doucement, marchant en feignant la fatigue et la veillesse, la bohémienne faisait son chemin pour rejoindre la maison qui l'interressé. En effet la residence des Lebeau était bien plus hauts sur la colline et semblait regner sur tout se petit monde. Après tout en temps que famille de voleurs, qui mieux qu'eux pouvait diriger les bohémiens.